La Contribution Géo politico-économique sur la Résolution du conflit Unilatérale et crise Bilatérale entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda by Irivuzimana Aime Muyombano Ph.D

 La Contribution Géo politico-économique sur la Résolution du conflit Unilatérale et crise Bilatérale entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda
                                                                    Révisé et Publie Par
         Aimé Muyombano (PhD S.)
Keen Advanced Institute of Research and  Development«Kairinstitute » Nord-Kivu
Et à l'
Institut d’Enseignement Supérieur de Ruhengeri Musanze-Rwanda,  INES Ruhengeri
P.O.B. 155 Musanze
Email address: amuyombano@gmail.com
0.      Résumé
Cet article examine la contribution Géo politico-économique sur la Résolution du conflit Unilatérale et crise bilatérale entre la République Démocratique du Congo et la République Rwandais. Les variations de la nature et de la puissance de la crise après le génocide perpétré contre les Tutsi au Rwanda ainsi que les  conséquences direct de l’instabilité sécuritaire. Ce dernier a pour impact la dégradation socio-économique du pays hôte des génocidaires Rwandais.
 Dans cet article, le modèle de recherche utilisé est l’historique comparatif et l'approche qualitative transversale comme sujet systématique.  L’approche utilisée pour décrire les expériences pratiques, exploration de la profondeur, de la richesse et de la complexité inhérente au phénomène avec son approche spécifique à l’étude du cas personnifie ou familiale et institutionnel avec la méthode observatoire directe.
Une bonne partie de la population Congolaise et Rwandaise a été interviewé différemment sur leur point de vue au conflit Unilatérale et la crise géo politico-économique sur la RDC-Rwanda. Le résultat similaire pour le groupe ci-haut cis-mentionné est seulement la volonté politique des responsables gouvernementaux.
 Aussi nous avons remarqué que les intérêts politiques primes sur la volonté et le bien-être de la population. Détachés du pouvoir Central, les Chefs provinciaux et l’armée nationale érigent des barrières pour imposer leurs taxes illégaux, touchent des pourcentages sur les ressources territoriales la cause principale de conflit unilatérale. En cas d’arrêt de la guerre, ce genre de comportement cesserait.
La présence et objectifs des Organisations Non Gouvernementales présentent depuis des nombreuses années au Congo et plus particulièrement à l’Est du pays sous les lunettes humanitaires suscitent des questions sur la qualité de leurs services surtout que la population ne cesse de souffrir jour après jour. Aussi, ne pourrait-on pas penser qu’il est dans l’intérêt de MONUSCO et la Communauté Internationale que la guerre ne cesse?  Le retour au calme  ne signifierait pas peut être la fin de mission et manque du travail ?
 Les multinationales, sont les plus concernés économiquement dans cette crise voulant s’approprier les grandes ressources minières  qui sont très rares dans la région occidentale et américaine. 
Mots-clés: crise unilatérale, bilatérale,  Stabilité politique, géoéconomique, géopolitique et développement
1. Introduction
1.1. Contexte d’Etude
Le Congo, a pris  l’appellation de la République Démocratique du Congo (RDC), ou ancien «Congo Belge» en 1908. Il avait obtenu son indépendance en 1960 et son voisin le Rwanda  gagnant la sienne plus tard en 1962. Cinq an après en 1965, comme certain pays en voie  de développement, ces derniers se sont définit par les coups d’Etat. Le 1er coup d’État en RDC après l’indépendance a  renversé le Président Joseph Kasavubu en faveur de Mobutu qui était son chef d'état-major de l'armée et le Congo devient Zaïre d’où  Mobutu se maintient au pouvoir pendant trente-deux ans, (Oasis, K. T. et Franklin K. M. 2012).  
La République Démocratique du Congo avec 2.345.000 kilomètres carrés et seulement 60 millions d’habitants, dispose d’une immense territoire et d’une faible densité démographique a été connu précédemment sous le nom du Zaïre, regorge d’ingrédients qui évoquent tour à tour une imagerie sauvage, des légendes extraordinaires, des vœux pieux ou une sagesse conventionnelle, et qui permettent d’alimenter nombreuses théories scientifiques sur la politique et l’économie en Afrique et chaque fois affectant ses pays voisins particulièrement le Rwanda, (Hesselbein, G. 2007).
Depuis 1970 jusqu’en 1990  la relation entre le Rwanda et RDC   a été  envahi  par les conflits  en fonction des durées qui définissent ces relations, (Mouanda, 2009)
L’hégémonie française sur la région particulièrement la RDC et le Rwanda, l'ère de la guerre froide témoin d'une coopération bilatérale et la francophonie ardente dans les deux pays  s’imposait  en vue de promouvoir et protéger la langue et les intérêts français. Le Générale Mobutu Sese Seko et Habyarimana mineur devant le grand Congo étaient en effet alliés.
Mashaka, M., G.  (2009), avait montré l'initiative de Mobutu Sese Seko, l’ancien  président du zaïre.  Forte de ses visées d'intégration économique et de coopération transfrontalière multisectorielle qui a conduit à la création de la Communauté économique des Pays des Grands Lacs (CEPGL) soutenu par l'ancienne colonisation Belge afin de promouvoir le développement sous les organes trilatérales organisées avec ses projets comme la banque pour le développement des Etats des grand lacs (BDGL) ; la société internationale de l'énergie de grand lacs (SINELAC) ; l'institut de recherche agronomique et zoologique (IRAZ) ; l'organisation de l'énergie des pays des grands lacs (EGL) et la société commerciale et industrielle de gaz (SOCIGAZ). La banque était chargée de fournir une assistance technique dans l'étude de préparation et exécution de ces projets. Elle a été relativement fonctionnelle de 1984 à 1994, année marquant le début du grand cycle d'instabilité bilatérale entre la République Démocratique du Congo/ Zaïre et le Rwanda, (Mashaka, G., M. 2009).
Regroupant des actionnaires divers, la Banque  pendant ces six années de fonctionnement a mobilisé un capital à la hauteur de 23.258.786 $ d’USA ayant pour actionnaire majeur la RDC avec presque 45,5% du capital, soit plus que les contributions du Rwanda et du Burundi prises ensembles. L'écart entre les contributions des 3 Etats membre été facile à comprendre, considérant à juste titre que la taille et le potentiel économique de la RDC ne sont rien comparables avec les potentiels respectifs de ses partenaires, (BOA, 2009).
De 1984 à 1993, sur 46 projets, la BDEGL a contribué au financement de 31 projets en RDC pour un coût d'environ (29.052.000 USA $) soit 76% du total des crédits contre seulement 7 projets pour le Rwanda représentant 15% du total des crédits (5.839.000 USA $) et paradoxalement un seul projet commun (SINELAC : 1.500.000 USA $) soit seulement 4% du total des crédits. Malgré son intention première d'œuvrer, par le biais de l'intégration régionale, à la sécurité des Etats membres et de leurs populations, la CEPGL n'a pas pu empêcher le génocide Rwandais, les guerres successives au RDC, les cycles de violence au Burundi, (Mashaka, G., M. 2009).
D’après Linda Melvern (2013), journaliste de carrière qui a écrit un livre qui fait autorité à propos du Rwanda plus grande tragédie du génocide de 100 jours offre des angles très intéressant sur la façon dont on peut se connecter sur le Rwanda et le Zaïre. Pour le cas du Rwanda elle affirme que « sans la France la dictature de Juvénal Habyarimana n’aurait jamais duré aussi longtemps qu'il l'a fait. La même chose peut être dite du Zaïre rebaptisé République démocratique du Congo. Elle a ajouté: «Alors étancher un allié est la France qui Habyarimana croyait que le soutien français à son régime était inconditionnel, peu importe ce que militaire ou tactique politique il avait l'habitude de rester au pouvoir. Rwanda faisait partie d'une famille, de la Francophonie» et laisse entendre que «étroitement lié à cette obsession de la langue et la culture qu’était le français, une crainte en France d'un empiétement anglophone dans son gazon africain, nourri par des siècles des Anglo-Français rivalité sur le continent», (Melvern, L. 2013).
Ce statu  qui est passé sans interruption au cours des années 1970 à travers les années 1980, a été porté à un arrêt brusque de milieu des années 1990 par l'émergence d'une révolution qui a balayé au Rwanda qui n’avait aucun lien au système Francophonie, (Boyer, R. et al. 2004).
La crise rwandaise d'autant plus la tombe de question de traiter avec l'entreprise génocidaire qui avait été exportés vers le Zaïre immédiatement changé la relation Congo-Rwanda dans une accrue phase de conflit de la précédente qui était basée sur le romantisme Francophone. La restauration du régime de Mobutu, avec l'installation du gouvernement Kengo en Juillet 1994 est venue au moment d'un changement de régime à Kigali et le génocide au Rwanda, Il a également coïncidé avec le moment de l'intervention de la France au Zaïre pour effacer les traces de son propre rôle comme un accessoire à l'entreprise génocidaire plus grande qui était maintenant à cheval sur la Zaïre-Rwanda frontière.
Durant ses premières années de l’indépendance et la guerre froide « Pays des Mille Collines » le Rwanda  virent l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement ayant fait sienne la lecture ethnique figée héritée de la rencontre avec le colonisateur. Une vague de répression ne tarda donc pas à s’abattre sur la minorité Tutsi du pays, engendrant plusieurs poches de réfugiés qui formèrent avec les années une diaspora rwandaise présente en Afrique et partout ailleurs dans le monde. Cette population bien Organisée d’abord de manière très lâche par le biais d’associations culturelles ou d’entraides et de périodiques, donna naissance par la suite à une organisation à vocation plus politique, Front Patriotique Rwandais puis militaire appelle Armée Patriotique Rwandaise visant à rendre possible un retour au Rwanda, (Fontanellaz, A. 2013).
Grace à cette collaboration géopolitique et économique entre les deux pays, le Président Mubutu avait envoyé ses Militaires aidé le Président Habyarimana à combattre contre les révolutionnaires du Front Patriotique Rwandais (FPR). Le plan principal de Habyarimana avec son gouvernement  été d’éliminer tous les Tutsi du pays. (Mitari, J. 2012).
Comme d’autres pays de la région, la RDC  et  le Rwanda ont  subi les conséquences Géo politique ayant comme résultat la dégradation des conditions socio-économique, l’afflux de refugiées ternissant ainsi la coopération bilatérale entre les deux pays.
Pour la plupart des Congolais, l’élément déclencheur de cette crise interminable qui ravage l’Est de la RDC a été l’afflux de Refugies Rwandais au Congo. Si le degré de responsabilité de Rwandais n’est que difficilement vérifiable, il semble pourtant clair que le lien causal entre le génocide des Tutsis rwandais et le conflit congolais a engendré une image peu glorieuse de certaine catégorie de Rwandais paisible et  celle d’intrus sur le territoire congolais, qui ont émigré pour se protéger et ont été accueillis, mais qui revendiquent aujourd’hui abusivement les territoires où ils se sont installés.
Au-delà des réactions émotionnelles que suscitent les milliers des victimes qui fuient les zones de combats, les pillages et les viols perpétrés par les différentes forces impliquées, tous ces conflits constituent une sérieuse entrave à la reconstruction de la RDC tout en devenant une menace sérieuse à la stabilisation de toute la région des grands lacs.
En dépit de l’abondance de ressources naturelles précieuses comme le cuivre, l’or ou les diamants, la pauvreté est endémique dans l’ensemble du pays. Avec une  Produit Intérieur Brut (PIB) par tête d’environ 100 $ en 2006, la RDC vit dans un état de misère extrême nettement plus prononcé qu’au moment de l’indépendance en 1960. L’existence de plus de 350 groupes ethniques parlant plus de 700 langues et dialectes permet d’imaginer le niveau de fragmentation ethnique et le manque d’intégration des populations, et ce en dépit de l’existence de quatre langues principales censées être utilisées dans l’ensemble du pays pour les communications militaires et économiques, (Coughlan et al. 2006).
 Le pays a souffert de la défaillance de l’État dans tous ses aspects et a été victime de conflits armés à répétition. On estime que le nombre de morts dues à la guerre, à la malnutrition et au manque de services médicaux s’élève à 4 millions pour la période allant de 1998 à 2004 (Coughlan et al. 2006) ; aujourd’hui, les combats se poursuivent et le nombre des victimes continue à augmenter. Le pays foisonne de seigneurs de la guerre, d’enfants soldats, de réfugiés, de nationaux déplacés, ainsi que d’armées, de mercenaires et de groupes rebelles en provenance des pays voisins.
2. Enoncé du problème
Depuis la crise rwandaise qui a culminé dans le génocide  perpétré contre les Tutsis  au Rwanda dont des milliers des réfugiés Rwandais ont afflué vers la République Démocratique du Congo et dans d’autres pays du monde, parmi lesquels se trouvaient  des génocidaires qui plus tard se sont organisés avec des jeune Rwandais et Congolais pour former un groupe armé nommé  Force Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR), la cause principale des différent conflits Unilatérale suscitant ainsi la naissance des plusieurs forces négatives actives en RDC.  
A part ce principal cause d’insécurité nationale et la crise bilatérale entre la République Démocratique du Congo et la République Rwandais a était une cause primordiale des non-retours des refugiés de deux pays en résidant permanent. La RDC est une terre aux enjeux économiques très importants qui disposent de grandes ressources minières notamment l’or, cassitérite, diamant, zinc, cobalt, uranium, manganèse, pétrole, gaz méthane, etc. mais aussi les richesses agricoles et forestières cause d’insécurité interne.
Mauvaise gouvernance en République Démocratique du Congo qui crée des conflits de personnalité mais aussi la guerre politique et économique causée par le non-respect des engagements du gouvernement envers sa Population et la Communauté Internationale la face cachée qui profitent de ces ressources naturelles.  
3. Objectif de cette étude
L'objectif principal de cette étude est de donner une analyse assidue sur la contribution géo politico-économique au résolution du conflit en (RDC) et la crise bilatérale entre la  RDC et le Rwanda qui pourrait conduire vers la paix et la stabilité entre le deux pays voisins, ceci  étant la clé du développement socio-économique pas seulement interne mais aussi entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda et régionale.
Cet article est d’une importance capitale  à la Communauté économique des Pays des Grands Lacs (CPGL), les pays de l’Afrique de l’Ouest francophone (CEAC), la Communauté Internationale entre autre (ICGRL, COMESA, IGAD, UA et l’ONU) et la population de la République Démocratique du Congo et celle du Rwanda.
4. Question de recherche
La présente étude est basée sur les questions suivantes:
Comment peut-on envisager la méthode qui devra répondre à la stabilité et sécurité interne de la RDC et entre le deux pays?
Quelle est la Contribution de la Communauté Internationale entant que une des groupe de pression sur la solution durable de conflit Unilatérale qui de fois devient le pilier de la crise géo politico-économique de deux Pays?
 Quel sont les efforts et la volonté des politiciens de deux pays  dans la résolution des conflits Unilatérale causés par les groupes armés locaux et étranger basés  en RDC notamment  la Force Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR), La Force Démocratique alliée de l’Ouganda (ADF) et La Force Nationales de libération du Burundi (FNL).
Quelles sont les théories et les modelés crées qui peuvent décourager la jeunesse de s’enrôler dans ses groupes des milices et encourage le socio-développement et économique?
 5. Hypothèses
La méthode envisage la stabilité et la sécurité interne de la RDC et entre les deux pays est fixe les modalités de la résolution de crise géo politico-économique de deux pays; le rôle de la communauté Internationale entant que l’un des groupes de pression et contribue à mettre fin au conflit qui est de fois le pilier de conflit et la crise ci-haut précitée; les efforts et la volonté politique de deux pays  dans la résolution des conflits causés par les diffèrent groupes des miliciens basés en République Démocratique du Congo et enfin  les théories et les modelés proposés qui découragent les jeunes à  s’allier dans les groupes armés,  devront être activés encourageant ainsi la création des emplois et d’autres opportunités rénovatrices.
6.  Méthodologie de recherche
Du point de vue méthodologique, l’Analyste a  adopté deux types de démarches :
L’Approches qualitatives transversales et l’étude historique comparative s’appuyant sur les crises suivantes:
1994: réfugiés Rwandais de 1994 qui se déversent en masse au Congo.
1996-1997: la Chute du Président Mobutu et la prise du pouvoir par Laurent Désiré Kabila soutenu par le Rwanda et l’Ouganda.
1998- 2002: Différents pays africains (7) participent dans la Guerre en République Démocratique du Congo (RDC).
2006-2007: Fin de la période de transition en République Démocratique du Congo (RDC) et espoir de paix dans la région des Grands Lacs.
2012-2013: la Crise bilatéral qui a été causée par un groupe armé dénommé 23 Mars (M23)
Au cours de cette étude, les méthodes de collection des données, échantillonnage, analyse des données avec une recherche documentaire ont été tirés en se reposant sur le non-probabilité couvrant à la fois la commodité et les échantillonnages téléologiques qui ont pris les différents témoignages et interviews des Congolais et Rwandais au Congo et ailleurs fournissant ainsi un point de vue globale sur l'évolution du conflit Unilatérale, la crise bilatérale et de fois régionale.
7. Revue des littératures
Cette étude a été soutenue par les théories et les modelés suivants:
Les théories des Relations internationale (Réalisme, libéralisme et le marxisme) qui tente de fournir une théorie conceptuelle analytique. Ole Holsti (2002), décrit cette théorie comme des paires qui permettent à l'utilisateur de voir uniquement les événements pertinents ; les théories du comportement d’Etat Réalisme classique, néo-réalisme et réalisme néo-classique sont des théories qui soutiennent tous les Etats cherchent influence et qui aide à atteindre les intérêts du gouvernement au pouvoir; les modèle de l'acteur rationnel, empiriques et  comme la Modèle politique Bureaucratique, la modèle d'organisation, la modèle de processus et  d'autres modelés ont été essentiels en soutenant la dit travail; l’approches du Partenariat qui a un large soutien de l'ensemble du spectre politique a été réfère, les théories keynésiennes relatives au développement socio-économique et régionalisme ont joué un rôle primordiale dans cet recherche.

8. cadre théorique
Stratégies de partenariat (coopération bilatérale, multilatérale et le développement); Stratégies de relations régionales (Paix, sécurité, stabilité et libre circulation de la population, leur marchandises et droit de résidences) et enfin les stratégies de création de richesse (coopération au développement, l'investissement, promotion du tourisme, transfert des connaissances et de la technologie et de la diaspora à savoir les envois de fonds) sont des éléments vitaux sur la résolution du conflit interne du RDC et la crise Bilatérale de deux pays.

9. Recherche et les Résultats
9.1. Genèse de la mésentente (tension)  entre Rwanda-RDC
Depuis la porte de l’Empire Kongo en 1200, jusqu’à ce jour, la RDC a  subi des conflits et crises internes historiques. Pour bien comprendre, il serait plutôt mieux de jeter un coup d’œil dans la  période de délimitation et démarcation des frontières en Afrique avec lequel une grande partie de la population africaine a perdu ses origines, cas des Rwanda-phones au Congo, (Assani, 2010).
Pour éviter de trop embrasser et de ne rien étreindre, nous allons nous contenter de la période la plus récente. Pendant 32 ans au pouvoir, le Président Mobutu a construit son économie sur la nationalisation progressive des biens commerciaux ainsi que les propriétés foncières qui appartenaient à des ressortissants ou groupes financiers étrangers, (Kodila et al, 2010).
Ce régime a été marqué par l’acquisition des biens publique au détriment des peuples en complicité avec le pouvoir Habyarimana, (Olivier, 2010). Leurs relations se sont épanouies à travers différentes initiatives, y compris la création en 1976, de la Communauté Economique des Pays des Grand Lacs, (Olivier, 2010).
Depuis le conflit rwandaise qui a culminé dans le génocide  perpétrés contre les Tutsis  au Rwanda dont plus d’un million ont été massacré, la relation des deux pays  a pris un penchant qui ne laisse pas indifférente la position actuelle au cours de cette période pendant laquelle des milliers des réfugiés rwandais ont afflué vers la RDC et dans d’autres pays du monde; parmi lesquels se trouvaient  des génocidaires qui plus tard se sont organisés avec leur Jeune Rwandais et Congolais  pour former un groupe armé appelé  Force Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR) qui continue à générer des confusions à la communauté internationale  particulièrement dans la région, (Tirthankar, C.2014).
En 1997, le régime du Président Mobutu a été renversé par une rébellion dirigée par Laurent Kabila; Le règne du nouveau Président n’a pas duré longtemps, il fut assassiné en 2001 et remplacé par son fils Joseph Kabila qui a réussi à négocier le retrait des forces étrangères qui se confrontaient  sur le sol congolais et a pu signer l’Accord de Pretoria avec S.E. Paul Kagame du Rwanda, un nouveau protocole d'accord de paix sur le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais et le désarmement des forces négatives des ex-FAR et des milices Interahamwe en R.D.C., (Murego, 2010).
En 2009, suite à une résurgence du conflit en RDC, le Gouvernement a signé un accord de paix avec le Congrès National pour la Défense du Peuple (CNDP), un groupe rebelle qui était basé au Nord-Kivu et dont l’intégration de ses membres dans l’armée congolaise a échouée.  Ce groupe rebelle a formé par la suite le M23 qui a été repoussé par la RDC et l’ONU est enfin se refugiée vers l’Ouganda et le Rwanda fin 2013, (Assani, A. A. 2010).

9.2. Comment différents acteurs voient-ils la crise aujourd’hui. (Discussion)
Pourquoi la République démocratique du Congo s’est-elle désagrégée? Les réponses apportées à cette question sont extrêmement variables.  Selon Collier, P., et Höffler, A. (1998;2000), l’argument de la malédiction des ressources constitue une autre explication de la déliquescence de l’État en République démocratique du Congo (RDC). Cette approche a été récemment développée de façon claire et puissamment explicative. Ses différents acteurs suggèrent que la dépendance de l’État vis-à-vis des ressources naturelles rend la survenue d’une guerre civile très probable; l’opposition, lorsqu’elle ne peut pas s’enrichir par voie de sécession, prend la forme d’un groupe rebelle; ce dernier est décrit comme une trinité: une organisation politique, une armée et une activité économique. L’infrastructure qui empêche les quartiers populaires d’être inondés pendant la période pluvieuse, le manque d’approvisionnement d’eau et d’électricité, manque d’hôpitaux, des centres  de santé sont des éléments déclencheurs de la crise.
D’après Jason, K. S. et al. (2015), la République Démocratique du Congo  continue de subir sur son sol des violences commises par différents groupes armés locaux mais également venus des pays voisins dont pas moins  de 70 groupes armés parmi lesquelles les plus actifs sont les suivant: 
Le plus jeune groupe actif est formé de miliciens de la Force de Résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI) qui déstabilise la population par des actes inhumains portant atteinte aux droits de l’homme.
La Force Démocratique pour la Libération du Rwanda (FDLR) joue aussi un rôle primordial dans la crise congolaise.
Nduma Défense du Congo (NDC) est un groupe fractionné en deux branches armées distinctes: 
ü  Nduma Défense du Congo (NDC) rénové dirigé par le Commandant Guidon.  
ü  Nduma Défense du Congo (NDC) dirigé par le commandant Sheka.
La Force Démocratique alliée de l’Ouganda (ADF) exerce aussi ses activités au Nord Kivu.
La Force Nationales de libération du Burundi (FNL) possède sa base arrière  en RDC.
Malgré tout ça, les forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ne constituent toujours pas une armée unifiée, disciplinée et opérationnelle.
La Mission des Nations-Unies au Congo (MONUSCO) qui est là depuis 1999, est considérée  comme la plus importante, et couteuse des Nations Unies, (ONU 2010) ne donne pas des bon résultats attendu en résolvant ce conflit internes.
L’un des problèmes majeur qui se répète en RDC provient de la FDLR qui continue de déstabiliser l’Est du Congo, tout en affectant la communauté Rwando-phone en RDC, s’infiltrant régulièrement dans la région frontalière du rwanda se repliant au Congo après leurs opérations malveillantes.
9.3. Situation actuelle (2014-2016) de la Crise
Décidemment, le bruit des bottes et des kalachnikovs ne cesse de se faire entendre dans l’Est de la RDC. Depuis que l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) a mis fin au Mouvement du 23-Mars (M-23), les rébellions se succèdent à un rythme effréné dans le Nord et le Sud-Kivu depuis des décennies, (Jason K. Stearns et Christoph Vogel, 2015).
À côté des groupes armés ci-haut précités  plus ou moins structurés, plusieurs autres, qui souvent sans hiérarchie établie ni objectif militaire ou politique bien défini, ont également fait leur apparition au fil des années comme celui d’auto défense ou à caractère ethnique, souvent utilisé comme supplétif militaire, mais aussi stratégique.
Cas du FDLR considéré par l’ONU comme un groupe terroriste très dangereux, depuis mai 2014, seulement 337 combattants vieux et malades ont déposé les armes (234 rouillées et inutilisables). Ces chiffres ne représentent qu’à peu près 24% de tous les éléments des FDLR. Parmi ces 337 combattants, il n’y a aucune figure connue comme Général, Colonel ou  Politicien qui le dirigent, (olivia, m. 2014).
9.4.Pourquoi tant des  conflits à l’Est du Congo?
La zone instable, la plus  concernée par le conflit à l’Est du Congo est la région du Kivu, intégrée dans la région de grands lacs frontalier avec le Rwanda, le Burundi, l’Ouganda et la Tanzanie dont une partie de leurs populations est transformée en réfugiés permanent pour diverses raisons, (Charlotte, C. 2012).
On considère cette région comme une terre aux enjeux économiques très importants qui disposent de grandes ressources minières notamment l’or, la cassitérite, pétrole, gaz méthane et enfin les richesses agricoles et forestières qui de fois sont les causes de cette crise.
Mauvaise gouvernance de la République Démocratique du Congo qui crée des conflits de personnalité mais aussi une guerre politique et économique causée par le non-respect des engagements par le gouvernement envers sa Population.
C’est un endroit occupé par  un grand nombre de réfugiés étrangers non reconnu officiellement par l'organisation des Nations unies/ UNHCR et le gouvernement congolais. C’est le cas des rwandais qui sont en République Démocratique du Congo depuis  les années d’ Independence et surtout en 1994 et d’autres voisins Burundais et Ougandais, ayant comme  conséquence  la formation des différents groupes rebelles, (ibid 2012).
La Communauté Internationale, les ONGs et les gros multinationales sont implantés depuis de nombreuses années et plus particulièrement à l’est du pays observent et profitent ces ressources naturelle invisiblement.
9.5.Quelques pistes de sortie de la crise
9.5.1.      La méthode envisage la stabilité et la sécurité entre les deux pays est fixe les modalités de la résolution de conflit Unilatérale et crise géo politico-économique de deux pays;
Revisitant la période des deux dernières décennies de l’histoire du «Congo-Rwanda», on peut constater qu’elle a été caractérisée par le conflit Unilatérale qui de fois pourrait engendrer la crise bilatérale qui a réduit la coopération diplomatique  existante depuis longtemps aux intérêts métropolitains.
La relation entre la République démocratique du Congo et le Rwanda a connu des moments de tensions en phases et les efforts de sortie de la crise ont suivi le même rythme. L'édition 2009 du Congo offensive était une provocation militaire conjointe de la République Démocratique du Congo-Rwanda contre le groupe rebelle des FDLR. Deux opérations ont été effectuées, «Kimia II qui est traduit comme calme» et «Umoja Wetu en swahili qui signifie Notre unité. On peut encore envisager la même orientation opératoire afin de décourager ces forces étrangères le piment de tous ces conflits interminables. Cela contribuera à réduire sensiblement l’insécurité au profit national et même régional.
Dans l’entre temps, une lueur d’espoir de bonne relation entre les deux communautés s’est fait poindre lors de la prestigieuse compétition du CHAN 2016, organisée au Rwanda. Cela a pu mettre à nu les intentions et le désir du cœur de la population Congolaise de voir l’unité et l’entente revivre entre la RDC et le Rwanda en dépit de présence encore sur terrain Congolais de trouble faits orchestré par les génocidaires en coalition avec d’autres groupes armes implantes dans le pays.
L’équipe nationale du Rwanda a perdu cette rencontre mais le Rwanda est sorti de la compétition  glorifiée car les supporters rwandais n’ont pas été découragé mais ça été  l’occasion d’ovationner de manière totalement inattendue l’équipe victorieuse Léopard (Equipe Congolaise).
Considéré souvent comme des frères ennemis, qui  aurait pu penser  que  juste une compétition sportive leur ferait  allier? Les choses peuvent évoluer, la communauté  des deux pays l’ont démontré par la proposition à l’assemblé  Nationale congolaise d’ouvrir la frontière qui été longtemps fermée  à partir de 18hrs.
9.5.2.      Le rôle de la communauté Internationale entant que groupe de pression sur le conflit interne et crise bilatérale.
Rwanda-RDC sont des membres des différentes Organisations sous régionales et internationales notamment  la CPGL, ICGRL, COMESA, IGAD, UA et enfin l’ONU qui encourage  et motive le développement  socio-économique résultat d’une bonne Diplomatie.  
Les avantages et la leçon que le Rwanda tire dans la  Communauté des pays de l’Afrique de l’Est (CAE) peuvent être utilisés au renforcement du développement socio-économique du Rwanda.
S'il n'y a pas d'incompatibilité entre l'Est et l'Ouest, une opportunité éventuelle  de découverte des avantages communs peut être mis en profit pour les deux blocs à travers le Rwanda, exemple la COMESA.
La présence et objectifs des Organisations Non Gouvernementales implantées depuis des nombreuses années au Congo et plus particulièrement à l’est du pays peuvent être remise en question pendant que la population ne cesse de souffrir jour pour jour. Aussi, ne pourrait-on penser qu’il est dans l’intérêt de MONUSCO et la communauté Internationale que la guerre ne cesse?  Le retour au calme  ne signifierait pas peut être que  la fin des missions et manque du travail?
Ce sont sans doute les multinationales, qui sont les plus concernés économiquement dans cette crise voulant s’approprier les grandes ressources minières  qui sont très rares dans la région occidentale et américaine. 
La communauté internationale a un grand rôle sur le forum international entre autre l’Assemblée Générale de Nations Unies, l’Union Africaine, la Conférence Internationale des pays des grands Lacs (CIRGL/ICGLR) etc. Sa contribution positive devrait plaider pour la paix et la sécurité durable dans le pays et dans la région. La création de l’emploi pour la population peut réduire sensiblement le risque ou tendance de s’enrôler dans les groupes armés négatif au profit de la stabilité socio-économique.
La communauté internationale pourra approcher les Chef des Etats et des Gouvernement focalisant ainsi leurs discussions dans les voies et moyens de mettre fin aux conflits unilatérales et crise bilatérale en formulant des recommandations y relatif créant une équipe de suivi et évaluation de mise en application stricte de toutes ces recommandations. Au cas de non-respect de ce dernier les mesures de sanctions pourraient être envisagées.  
9.5.3.      Les efforts et la volonté politique de deux pays  dans la résolution des conflits causés par les diffèrent groupes des miliciens basés en RDC.
On a remarqué que le manque de volonté politique des états est centré sur les intérêts personnels au-dessus des intérêts nationaux. Détachés du pouvoir central, certains chefs provinciaux s’accordent avec l’armée, posent eux aussi leurs taxes, touchent des pourcentages sur les ressources de leur territoire. En cas d’arrêt de la guerre, ce genre de comportement cesserait.
La théorie administrative stipule que une communauté bien organise est dirigé par un groupe de personne élue ou nomme avec sous des règles constitutionnels officielles.  Ce dernier doit être renforcé et respecté scrupuleusement. Les dirigeants doivent savoir que leurs premières responsabilités est de servir les intérêts publics et non l’inverse.  
Le deux pays doivent réfléchir sur le développement national qui les aidera à promouvoir le service de la population en exploitant leurs potentialités et opportunités.
 Rwanda avec un avantage multilingue dans la position confortable d’avoir la formation française et anglaise dont sa communauté a l’opportunité de travailler avec  les pays francophones et anglophones pourrait transformer le Rwanda en une plate-forme d'interaction culturelle et commerciale;
Le pays de l’Afrique de l’Ouest a beaucoup d’opportunités exploitables que le Rwanda peut envisager à négocier à l’aide d’une coopération élargie, en proposant des Commission conjointes mixtes dans différents domaines afin de développer le secteur d’investissement et de coopération stratégiques.
Promouvoir la stabilité politique et faciliter les procédures relatives aux activités économiques et commerciales sont un facteur clé dans la prise de décision en matière d’investissement ;
Etudier les voies et moyens de financement à long terme des projets régionaux, y compris les partenariats publics privés (PPP) créer un environnement favorable aux affaires favorisant les mécanismes de règlement des différends au développement d’investissement.
9.5.4.      La théorie et le modelé proposés qui découragent les jeunes à  s’allier dans les groupes armés, devront être activés encourageant ainsi la création des emplois et d’autres opportunités rénovatrices
Le modèle de développement social et économique utilise dans cet article est une description simplifiée de la réalité, conçu pour donner des hypothèses sur le comportement social et économique qui peut être testée et qui a une caractéristique importante nécessairement subjective dans la conception, car il n'y a pas de mesures objectives de résultats social et économiques. Différents économistes feront différents jugements sur ce qui est nécessaire pour expliquer leurs interprétations de la réalité.
Dans cet article deux grands modèles ont été considéré comme élément vital dans la recherche :
9.5.4.1.Le modelé théorique et empirique socio-économiques.
9.5.4.1.1.      La théorie et le modèle théorique
Le modèle théorique a été utilisé pour tirer des implications vérifiables sur le comportement socio-économique de la population.  Améliore le Produit intérieur brut par habitant (PIB) par personne  avantagera les petits et moyens investissements qui aidera à déchiffrer les revenues des activités lucratives à l’échelle qualitative et quantitative.
Figure1: Théorie conceptuel
Cette théorie conceptuelle a donné un aperçu des types variables de recherche qui a joué un rôle primordial dans cet Article.
Dans cette recherche, l’auteur s’est inspiré  des certaines théories existante pour créer une qui pourrait l’aider à déterminer la relation entre les deux variables (indépendante et dépendante) utilisés dans cet étude scientifique.

               
         Contribution Géo politico-économique
Géo politico économique  ‘Unilatérale’
  1. Bonne gouvernance/ Décentralisation,
  2. Démocratie et
  3. Institutionnalisation
Géo politico économique   ‘Bilatérale et Régionale’
1.      Commission Conjointe mixte des Force Armées sur la sécurité
2.      Convention sur la Coopération bilatérale
3.      Réactiver les Organisations régionales avec la même vision de la CPGL, CAE, ICGRL, COMESA, IGAD, UA et enfin l’ONU en générale et particulièrement entre eux même (RDC-Rwanda).


Développement socio-économique
1.       Partenariat public privé (PPP)
  1. Libre circulation: (peuple, biens, service et capitaux). ,
  2. L'investissement étranger direct et  la promotion du tourisme
  3. Le transfert des connaissances et de la technologie.
Résolution du conflit Unilatérale et la crise Bilatérale entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda
Les Facteurs Tangible de la crise  Unilatérale et bilatérale
Ø  Justice, Paix, Stabilité, Sécurité,
Ø  diminution des taux de refugies et les épidémies,
Ø  la promotion  de la coopération bilatérale et Multilatérale,
Ø  la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) par habitant 
Ø   augmentation d’espérance de vie
Ø   diminution de l'alphabétisation et disponibilité d'emploi et
Ø  amélioration des infrastructures.
Les Facteurs Intangible de la crise géo-politico économique Unilatérale et bilatérale
Ø  la dignité personnelle
Ø  la Liberté d'association
Ø  la Participation à la société civile

             
                       Variation inattendu d’intervention
Position géographique/ Lieu; Taille du pays; type du Gouvernement/ leadership et répartition des Ressources équitables.
            Source: point de vue personnel.
Dans cette recherche, il existe deux types de variation: les variations indépendantes également appelées manipulation qui  traitent de toutes les théories et pratiques liées aux piliers de la contribution géo politico-économique à caractère unilatérale, bilatérale, Régional et développement socio-économique avec impact positif du   conflit en RDC et la crises bilatérale de deux pays. Le résultat  tangibles  tels que Justice, Paix, Stabilité, Sécurité, diminution des taux de refugies et les épidémies, la promotion  de la coopération bilatérale et Multilatérale, la croissance du PIB par habitant  (Produit Intérieur Brut), augmentation d’espérance de vie, diminution de l'alphabétisation et disponibilité d'emploi et amélioration des infrastructures.
Les résultats moins tangibles tels que la dignité personnelle, la liberté d'association et la Participation à la société civile sont également des variables a tenir compte dans cette étude. Le sondage a permis l'identification de ces variables interagissent les uns aux autres et a montré comment ils peuvent contribuer à la résolution du conflit.  
9.5.4.1.2.      Les modèles empiriques
En revanche, les modèles empiriques visent à vérifier les prédictions qualitatives des modèles théoriques et de convertir ces prédictions, les résultats numériques précis. Par exemple, un modèle théorique du comportement des consommateurs vis-à-vis des résultats escomptes.  L'adaptation empirique du modèle théorique serait tenté  d'attribuer une valeur numérique   moyenne tenant compte des revenus et dépenses quotidiennes de chaque citoyen.
Ceci étant le pays bénéficiera des multiples projets rémunérateurs bien finances, création des écoles pour l’éducation de la jeunesse, promotion de développement rural, réduction sensible de chômage qui contribuera à la paix et sécurité nationale et régionale.
a.      Logistique Régression Modelé numéro Un
Prenez-Y comme un synonyme de conflit unilatérale et la crise entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda, K comme une constante (Contribution politique et économique de deux pays dans la dite crise) et X1, X2, X3 comme tout autre composant de la variation indépendante.
Y=K+..+e


Cela signifie qu’avec (K), même s'il n'y a pas de contribution Géo politico-économique sur le conflit, il y aura toujours des négociateurs bien intentionnés ou négatifs.
Y qui est la variable dépendante de la Géo politico-économique, signifie que la résolution du conflit dépendra de la théorie et modèle sur la contribution Géo politico-économique avancée  par le chercheur.
Différentes variables indépendantes: X1 qui est le Géo-politico économique  unilatérale (Bonne gouvernance/ Décentralisation, Démocratie et Institutionnalisation), X2 qui est Géo-politico économique   bilatérale et Régionale (Commission Conjointe mixte des Force Armées sur la sécurité, Convention sur la Coopération bilatérale et Réactiver les Organisations régionales avec la même vision de la CPGL, CAE, ICGRL, COMESA, IGAD, UA et enfin l’ONU en générale et particulièrement entre eux même (RDC-Rwanda). et le dernier est X3 comme une Socio-développement et économique (Partenariat public privé (PPP), Libre circulation: (peuple, biens, service et capitaux), L'investissement étranger direct et  la promotion du tourisme et Le transfert des connaissances et de la technologie) et enfin e qui est le terme d'erreur.
b.      Régression logistique Modelé numéro deux.  
 Prenez-Y comme synonyme de Justice, Paix, Stabilité et Sécurité, Q0 comme une constante ou d'interruption (Contribution géo-politico économique International dans la résolution du conflit unilatérale et crise bilatérale de deux pays, β1+ β2 + β3 + βn sont le variable indépendante

Y= +++e
Cela signifie que Q0 (comme contribution géo politico-économique International dans la résolution du conflit unilatérale et crise bilatérale) Constant ou Interrompu, même sans la contribution  ci haut énoncée, il aura toujours fin de crise soit avec effets positif ou négatif, β1 géo politico-économique  unilatérale, géo politico-économique   bilatérale et Régional, β3 développement socio-économique et finalement βn comme équation indéfinie et e  comme étant erreur.
10.  Conclusion
 Cet article a donné une analyse scientifique sur le plan géo politico-Economique sur la situation de crise existante dans la région de grand lacs. La cause proche et lointaine de l’instabilité politique léguée par la colonisation qui a conduit à la victimisation de tout un peuple encore sous l’emprise des idéologies négatives et comportementales métropolitains.
11.  Recommandations
Les résultats de cette étude montrent que pour lutter contre tous ces conflits, les Organisations Non Gouvernementale (ONGs) et les Etats devront changer leurs stratégies de gouvernance et se focaliser sur les actions qui favorisent le développement   socio-économique de la population.
La République Démocratique du Congo et le Rwanda sont  membres des différentes Organisations sous Régionales et Internationales  et devraient encourager la piste de paix favorisant  la création des projets de développement se basant sur:
  • La consultation régulière et les échanges des expériences de deux pays réduiraient les intégrations des jeunes dans des forces armées en échanges des activités rémunératrices.;
  • La révision régulière des plans d’action pour la vérification de mise  en œuvre des recommandations adoptées dans différentes rencontres consultatives;
  • Parmi les langues officielles du Rwanda, la promotion de la langue Française peut être considérée comme un atout enfin de gagner les pays Francophones spécialement la République Démocratique du Congo.
  • En  Informant les investisseurs potentiels sur le climat d’affaires,  la situation de la sécurité en générale réduisant aussi les taxes gouvernementaux facilitant ainsi la création et l’accès au travail le moteur de la vie socio-économique;
  • Des informations spécifiques sur une sélection d'opportunités d'investissement le plus lucratif dans sept secteurs notamment l'énergie, les mines, l'agriculture, le tourisme, l'infrastructure, des télécommunications et des finances;
  • Les institutions financières, les agences de développement, des fonds d'investissement et d'autres sources de capitaux décrivant les options de financiers disponibles pour les occasions d'affaires dans le pays;
  • Mise en réseau d’espace des réunions et des stands d'expositions qui offrent aux participants l'occasion d'engager des discussions et un dialogue formel et informel.
  • Promouvoir la collaboration interuniversitaire au tour des projets d’intérêt régional.

Fin

Références
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